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Le centenaire de la publication du Cours de linguistique générale (1916) de Ferdinand de Saussure nous a invité à reconsidérer l’importance de cet ouvrage et le rôle de son auteur pour la fondation d’une linguistique intégrée dans une sémiologie. Il n’y a aucun doute que cet auteur fut extrêmement important pour le développement de la linguistique structurale en Europe et qu’avec son concept du signe linguistique il a fait œuvre de pionnier pour le tournant sémiologique. Mais l’accueil favorable d’une théorie dans le milieu scientifique ne s’explique pas seulement par sa qualité intérieure, mais par plusieurs conditions extérieures. Ces conditions seront analysées sur trois plans: (1) l’arrivée de la méthode des néogrammairiens à ses limites qui incitait alors à l’étude de l’unité du signifiant et du signifié; (2) la simplification et l’outrance de la pensée structurale dans le Cours, publié en 1916 par Charles Bally et Albert Sechehaye et (3) la préparation de la réception de la pensée sémiologique par plusieurs travaux parallèles.
Modalité et polyphonie
(2019)
Dans cette étude du grec ancien, nous souhaitons souligner deux particularités peu remarquées de l’adjectif verbal en –τέος, toutes deux liées à la modalité déontique. L’une concerne la possibilité rare de trouver l’adjectif verbal d’obligation avec la négation non assertive μή, alors que la très grande majorité des occurrences négatives comporte la négation assertive οὐ. L’autre est liée à l’emploi au potentiel de cet adjectif verbal d’obligation : dans ces énoncés, se pose la question de la combinaison entre la modalité du potentiel et la modalité déontique de l’adjectif verbal. Il nous semble que ces deux particularités peu fréquentes sont révélatrices du fonctionnement de la modalité déontique dans l’adjectif verbal d’obligation à l’époque classique (Xénophon et Platon en font ainsi un usage abondant).
Dieser Band entstand auf der Basis von Beiträgen, die zum XXIV. Internationalen Kolloquium des Studienkreises ‘Geschichte der Sprachwissenschaft’ vom 22. bis 24. August 2013 vorgetragen wurden. Ausschlaggebend für die Wahl des Themas war nicht ein Befolgen des Zeitgeistes, der immer wieder auf die Krise hinweist, die Europa durchlebt und die sich natürlich auch im metasprachlichen Bewusstsein niederschlägt, sondern die Absicht, eine von der Feststellung von Kontinuitäten in der Entwicklung der Sprachwissenschaft unterschiedene Forschungsperspektive einzunehmen.
Krisenzeiten und Umbrüche führen allerdings tatsächlich auch zu veränderten Diskursstrategien und Bezeichnungsmustern, die auch von linguistischen Laien wahrgenommen und diskutiert werden. Sprachwandeltheorien spiegeln zwar ein Bewusstsein von Phasen sehr dynamischer sprachlicher Entwicklungen wider, nicht jedoch ein Interesse an dem gesellschaftlich bedingten initialen Moment, an dem anfänglichen Auslöser von Sprachwandel. Eine Umbruchkonzeption, die Gesellschafts- und Sprachgeschichte in diesem Sinn aufeinander beziehen würde, wurde bisher nicht entwickelt. ...
Viel mehr als dieser lebensweltliche Bezug des Verhältnisses von Sprache und Krise bildete jedoch die Sichtung der historiographischen Literatur der letzten Jahre und Jahrzehnte den Ausgangspunkt für das Thema dieses Bandes. Immer wieder werden begriffliche Kontinuitäten, Einflüsse zurückliegender Autoren auf spätere und die Verpflichtung moderner Theorien gegenüber früheren Ansätzen konstatiert. Meistens geschieht dies zu Recht, doch das wissenschaftshistorische Interesse für die Innovation oder auch den theoretischen Verlust, mit einem Wort die Diskontinuität, sollte nicht vernachlässigt werden. Dabei gibt es durchaus immer wieder Behauptungen des völlig Neuen in sprachtheoretischen Publikationen, die eine Tradition und die jetzt neue, gültige Theorie, die sogenannte Vorgeschichte eines Theorems und den Beginn der eigentlichen Wissenschaft in Gegensatz zueinander stellen. Doch solche Behauptungen stammen von den Sprachwissenschaftlern selbst, sie dienen meist der Hervorhebung des eigenen Standpunkts und sind keine Ergebnisse professioneller Historiographie.