Refine
Has Fulltext
- no (955) (remove)
Year of publication
Document Type
- Article (615)
- Monograph/Edited Volume (134)
- Review (95)
- Doctoral Thesis (56)
- Part of a Book (40)
- Other (7)
- Habilitation Thesis (3)
- Conference Proceeding (2)
- Journal/Publication series (2)
- Preprint (1)
Language
- German (955) (remove)
Is part of the Bibliography
- yes (955)
Keywords
- Aufsatzsammlung (2)
- Europa (2)
- Geschichte (2)
- Kulturelle Identität (2)
- Literatur (2)
- Literaturtheorie (2)
- Romanische Sprachen (2)
- Angewandte Linguistik (1)
- Auerbach, Erich (1)
- Autopoiesis (1)
Institute
- Institut für Romanistik (955) (remove)
À partir des travaux des ethnologues qui ont décrit le fonctionnement des sociétés paysannes de l’Ancien Régime, nous montrons dans cet article comment le récit de l’enfance bretonne de Chateaubriand dans les ‚Mémoires d’outre-tombe‘ obéit à une logique initiatique qui donne à l’animal un rôle de premier plan. Transformée en véritable „aventure“, la capture des oiseaux devient pour l’enfant l’occasion de forger son caractère et de découvrir le sens de l’honneur, tandis que la contemplation de leur envol éveille en lui le goût des voyages qu’il n’a pas encore la possibilité d’assouvir. À Combourg, chouettes et chat noir peuplent les nuits de l’enfant et l’obligent à dompter ses peurs. Quant au cheval, que Chateaubriand a mal appris à maîtriser, il devient sous sa plume l’emblème d’une époque révolue dominée par les privilèges de l’aristocratie et le signe de l’inadaptation des derniers rois de France. Il restera à l’écrivain à s’emparer de cette familiarité avec le monde animal pour nourrir son imaginaire et sa sensibilité de plus en plus grande au sort que lui réserve la société.
Im Fluss
(2021)
Die Koloniale Karibik
(2012)
Werden nicht in der Karibik des 19. Jahrhunderts Phänomene und Prozesse vorweg-genommen, die heute erst ins Bewusstsein gelangen? Der Blick auf die kaleidoskopartige Welt der Karibik über literarische und kulturelle Transprozesse in jener Epoche erlaubt völlig neue Einsichten in die frühen Prozesse der kulturellen Globalisierung. Rassistische Diskurse, etablierte Modelle „weißer“ Abolitionisten, Erinnerungspolitiken und die bisher kaum wahrgenommene Rolle der haitianischen Revolution verbinden sich zu einem Amalgam, das unser gängiges Konzept einer genuin westlichen Moderne in Frage stellt.
Die verletzte Republik
(2022)
Die Studie stellt die Frage nach dem Beitrag erzählender Literatur zu einem Dialog über Formen der Gewalt im gesellschaftlichen Raum Frankreich zu Beginn des 21. Jahrhunderts.
Unter Rückgriff auf Bourdieu’sche Konzepte literatursoziologischer Theorie diskutiert sie zunächst die für ein sozialwissenschaftlich relevantes Erfassen des Wissens von Literatur notwendige Perspektive auf erzählte Gewalt. Bei dem dafür untersuchten Text-Korpus handelt es sich um vielrezipierte Erzähltexte des literarischen Feldes in Frankreich, welche größtenteils in der zweiten Dekade des 21. Jahrhunderts erschienen sind.
Ausgehend von theoretischen Überlegungen zu Grenzen und Möglichkeiten einer solchen feldsoziologischen Fokussierung auf die Literatur der unmittelbaren Gegenwart wird am konkreten Textmaterial und mit den Mitteln der Literaturwissenschaft untersucht, wie und warum die französische Literatur über unterschiedliche Formen von Gewalt, vom Erinnern an die historisch gewordenen Gewalttraumata des 20. Jahrhunderts, vom Terrorismus des 21. Jahrhunderts, von Rassismus und Klassismus der Gegenwart, von Femiziden und Homophobie, über «Abgehängte» in ländlichen Gebieten, aber auch im Zentrum der Metropole, über Arbeitslosigkeit und Armut in Frankreich erzählt.
Eröffnet werden soll eine komplementäre Perspektive der Literaturwissenschaft zur soziologischen und historischen Gewaltforschung über den gesellschaftlichen Raum unseres europäischen Nachbarn.
Résumé: L’appropriation du poème par le dessinateur : le cycle de Botticelli sur la ‚Divine Comédie‘. La contribution se concentre sur deux points fondamentaux : 1) les caractéristiques qui distinguent le commentaire en images de Botticelli et l’enluminure de la ‚Divine Comédie‘ aux XIVe et XVe siècles ; 2) la préséance donnée au poète ou au peintre dans la rivalité entre les arts et le comportement de Botticelli face au « visibile parlare » de Dante. Au sujet de 1) La reconstruction de l’album original de la ‚Divine Comédie‘ contenant les dessins de Botticelli (Ill. 1) montre déjà une mise en valeur de l’image. Le format horizontal de l’ouvrage, qui accorde autant de place au dessin qu’au texte, annonce le nouvel esprit de l’époque, celui d’une rivalité entre la peinture et la poésie. L’image peinte renforce l’impact de l’enargeia du texte. Tandis que l’illustration, en tant que visualisation, contribue à rendre le texte plus compréhensible, le commentaire, lui, représente un élément de réflexion supplémentaire à ce que décrit l’auteur, une explication complémentaire, quelque chose de propre, qui ne survient pas dans le texte, un écart, donc, qu’il faut détecter lors de l’analyse. Un exemple de cette plus-value que l’artiste crée avec cet écart, sont les adieux de Béatrice à Dante représentés sur le feuillet de Pd. XXX (Ill. 2). Un autre exemple en est la personnification des « faville vive » (= les étincelles vivantes) que Botticelli, conformément au goût de l’époque, transpose en angelots. Même si la représentation des « faville vive » en anges (certes adultes) survient déjà dans les enluminures du poème (cf. Ill. 3 et 4), la conception de l’écart chez Botticelli est moins schématique mais plus efficace et convaincante, elle va jusqu’à l’enchantement de l’observateur. Au sujet de 2) En nous fondant sur le dessin de Pg. X (Ill. 5), nous analysons la différence de la compréhension du « visibile parlare » chez Dante et Botticelli. Si chez Dante, le « visibile parlare » est une parole divine, Botticelli, lui, représente les oeuvres de Dieu en tant qu’images dans l’image, il les encadre et les inclue dans le cadre de son feuillet à dessin. À travers ce redoublement de l’image, ou mise en abyme, il montre cependant en même temps de manière autoréflexive qu’elles se situent sur une seule et même surface, à savoir le domaine de l’art. Botticelli pose la représentation du sacré dans le cadre de son feuillet et nous fait prendre conscience ainsi du fait qu’il s’agit de l’oeuvre d’un artiste terrestre. L’art de Botticelli incarne ainsi lui-même un geste de modestie et se subordonne à l’humilité à laquelle le Canto aspire à instruire. On retrouve cette humilité de Botticelli dans son dessin de Pg. XI (Ill. 6), sur lequel l’artiste de la Renaissance sûr de soi met en scène la purification douloureuse de son orgueil et un apprentissage de l’humilité. Le dessin de Pd. XXVIII (Ill. 7 et 8) montre le détail d’un autoportrait de Botticelli déguisé en ange et dans une pose ludique. Avec sa plaque, il s’immortalise ici en tant que créateur du cycle des dessins. Botticelli semble être sûr de l’importance de sa contribution artistique et originale à l’oeuvre de Dante. Ironiquement, le dessinateur ne se dote que d’une seule aile, alors que le personnage de Dante utilise le mot ‘ailes’ au pluriel afin de se référer à lui-même en tant que poète : « ma non e da ciò le proprie penne : » (Pd. XXXIII, 139). Ainsi, Botticelli en tant qu’interprète dessinateur du poète pourrait finalement reconnaître la préséance de ce dernier. Quant aux chants Pd. XXXI et Pd. XXXIII, nous disposons exclusivement du texte ; les pages réservées aux images sont restées vierges. En ce qui concerne le feuillet de Pd. XXXIII, il s’agit probablement d’un « blanc » volontaire. On peut reconnaître ici – et cela s’esquisse déjà sur le feuillet XXXII (Ill. 9) – un renoncement de la part de l’artiste. Ce que Dante clame à plusieurs reprises dans le chant XXXIII à l’aide de la parole, à savoir son incapacité à verbaliser ce qu’il a vu ou ce qu’il imagine, a poussé Botticelli à laisser sa plume au repos. On peut ainsi voir comme raison à ce renoncement la prise de conscience de Botticelli des frontières de la représentation picturale. Dante lui-même a renoncé à la fin au langage illustré de ses tableaux de mots : « A l’alta fantasia qui mancò possa » (Pd. XXXIII, 142). En conséquence, Botticelli y renonce également.
Das klinische Tagebuch
(2021)
Wissenschaftliches Arbeiten
(2021)
Die formalen und theoretischen Grundlagen wissenschaftlichen Arbeitens spielen in der akademischen Weiterbildung und darüber hinaus auch im Geschäftsalltag eine - zumeist unterschätzte - Rolle: Gerade im Managementkontext müssen aus selbst erhobenen oder recherchierten Informationen gutachterliche Stellungnahmen erarbeitet und dabei die Grundsätze ordnungsgemäßer wissenschaftlicher Arbeit beachtet werden. Die Erstellung solcher Texte erfordert neben der Fähigkeit zur Formulierung bzw. Abgrenzung einer forschungsleitenden Frage und zur gezielten Informationsrecherche auch spezifische Fähigkeiten im Schreibprozess und beim Belegen von Quellen. Diese Kompetenzen sollen im Rahmen eines "Refresher"-Kurses, der als Grundlage für dieses Werk dient, so vermittelt werden, dass sowohl Studierende als auch Fach- und Führungskräfte aus der Praxis schnell informiert werden.
Anton Wilhelm Amo
(2020)
The idea of a linguistic worldview was clearly expressed in German national romantic thought of the early 19th century, where language was seen as the expression of the spirit of a nation. Wilhelm von Humboldt argued that every language shaped the world-view of its speakers, but he also saw a possibility to improve human knowledge in the co-action of languages.
The idea of linguistic relativity can be found in John Locke’s statement that words interpose themselves between our understandings and the truth which it would contemplate and apprehend. In the 18th century, we can find formulations that our language accustoms us to arrange our ideas in a specific way, that some languages are more suitable for certain kinds of thought, or that metaphors have significant influence on peoples’ thought. In the 20thcentury the Neo-Humboldtian school revitalised the idea of an influence of language on thought in a reductionist way. At the end of the 20th century, some authors, for example John J. Gumperz and Stephen C. Levinson, tried to rethink linguistic relativity and to prove it by empirical results.