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RESUME Cette etude propose d'explorer et d'identifier des moments particuliers oU le changement linguistique se produit, afin de confirmer ou de rejeter l'idee d'une periode specifique designee par le terme << francais preclassique >>, avec une rupture - ou frontiere chronolectale - detectable autour de 1630 (cf. Ayres-Bennett et Caron, 2016). Afin de verifier dans quelle mesure cette chronologie peut etre confirmee, il est necessaire de multiplier des analyses fines et pointues sur des traits linguistiques qui ont subi des changements a l'epoque en question et d'interroger une gamme de textes qui refletent la variation discursive et pragmatique, au lieu de consulter le canon des traditions textuelles actuellement disponibles sur des bases numerisees, qui sont essentiellement litteraires. C'est pourquoi nous avons consulte des sources de nature differente, qui pourraient attester des usages emergents, a savoir les corpus du Reseau Corpus Francais Preclassique et Classique (RCFC). Seront presentes les resultats de deux etudes de cas (la recategorisation des formes dedans/dessous/dessus/dehors et la montee des clitiques), abondamment discutes par les remarqueurs.
Dans cette étude, on établira une relation sémantique entre les catégories TAM, c’est-à-dire, on verra comment la temporalité, l’aspectualité et la modalité interagissent ou se recoupent entre elles. D’abord, les catégories TAM seront étudiées sous une approche sémantique-fonctionnelle et puis – du point de vue pragmatique – quelques moyens linguistiques de ses expressions, comme l’imparfait et le futur qui n’expriment pas seulement des valeurs temporelles et aspectuelles, mais aussi des valeurs modales ou comme le verbe modal devoir qui en plus de sa valeur modale peut aussi exprimer la temporalité seront analysés quant à leurs interactions avec d’autres éléments présents dans l’énoncé, comme les adverbes (temporels et modaux) et les modes d’action.
Le point de départ : la notion d'input dans une théorie de l'acquisition d'une langue seconde
(1997)
Nation, migration, narration
(2022)
En France et en Allemagne, l’immigration est devenue dans les dernières décennies une problématique centrale. C’est dans ce contexte qu’est apparu le rap. Celui-ci connaît une popularité énorme chez les populations issues de l’immigration. Pour autant, les rappeurs ne s’en confrontent pas moins à leur identité française ou allemande.
Le but de ce travail est d’expliquer cette apparente contradiction : comment des personnes issues de l’immigration, exprimant un mal-être face à un racisme qu’ils considèrent omniprésent, peuvent-elles se sentir pleinement françaises / allemandes ?
On a divisé le travail entre les chapitres suivants : Contexte de l'étude, méthodologie et théories (I) ; Analyse des différentes formes d’identité nationale au prisme du corpus (II) ; Analyse en trois étapes chronologiques du rapport à la société dans les textes des rappeurs (III-V) ; étude de cas de Kery James en France et Samy Deluxe en Allemagne (VI).
Cet article explore les débats sur la formation autodidacte dans le contexte d’une constellation franco-allemande autour de 1800. Il met en évidence les interférences fécondes qui ont existé entre les Lumières françaises, notamment par l’intermédiaire de Mirabeau, et l’Aufklärung allemande, en particulier les cercles berlinois autour de la Mittwochsgesellschaft et Wilhelm von Humboldt. Il analyse par ailleurs la dimension politique de l’autodidaxie à la veille de la Révolution française.
L'exil comme patrie
(2017)
Cette recherche a pour objet l'articulation entre les dimensions anthropologiques et sociologiques de l'anthropologie philosophique de Helmuth Plessner (1892-1985). Elles procèdent selon trois axes. Je m'efforce (1) d'offrir une synthèse de l'anthropologie philosophique plessnerienne afin (2) de reconstituer les conditions de possibilité du social au stade humain de l'organique. Le troisième axe (3) correspond, enfin, à l'analyse des limites structurelles du social à partir de ses deux dimensions constitutives : l'individuel (limites ontogénétiques, comportementales et inter-personnelles) et le collectif (limites culturelles, intra- et inter-culturelles).
La référence à Colomb est un lieu commun de la biographie humboldtienne. Humboldt lui-même le souligne particulièrement dans son Examen critique, en y ajoutant une dimension autobiographique. La contribution analyse, dans une perspective philologique, le matériel et les formes de mise en scène avec lesquelles une vie est représentée au travers d'une autre.
Afin de promouvoir l’abolition universelle de la peine de mort, les Etats et organisations internationales, qui forment une communauté fonctionnelle abolitionniste, recourent à des stratégies juridiques. Ces stratégies sont fondées en droit, et opèrent tant sur le contenu du droit (stratégies normatives) que sur la mise en œuvre du droit (stratégies opérationnelles). Pour ce qui concerne d’une part les stratégies normatives abolitionnistes, la communauté fonctionnelle abolitionniste s’appuie sur l’article 6 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, qui encadre la peine de mort et l’assorti de restrictions. Elle promeut ainsi des abolitions partielles en se fondant sur des résolutions de l’Assemblée générale, sur le soft law du Comité des droits de l’homme et sur d’autres traités afin de les densifier et de les interpréter extensivement. De la même manière, la communauté fonctionnelle abolitionniste se fonde sur d’autres abolitions partielles qui sont encore en cours de coutumiérisation, bien que celle-ci se heurte à l’objection persistante de certains Etats. Pour ce qui concerne d’autre part les stratégies opérationnelles abolitionnistes, la communauté fonctionnelle abolitionniste œuvre tant dans le cadre interétatique que dans le cadre transnational, afin de promouvoir la mise en œuvre des normes encadrant la peine de mort. Ces stratégies juridiques abolitionnistes sont dès lors des facteurs de développement et de mise en œuvre non-centralisée du droit international, qui interrogent sur le poids de la majorité des Etats dans l’évolution du droit international, et posent la question de la reconnaissance de l’existence et de la pertinence de valeurs méta-juridiques comme la dignité humaine.
La carte de Tupaia constitue l’un des artéfacts les plus célèbres et les plus énigmatiques à émerger des toutes premières rencontres entre Européens et îliens du Pacifique. Elle a été élaborée entre août 1769 et février 1770 par Tupaia, prêtre ’arioi, conseiller royal et maître de navigation originaire de Ra’iātea, aux Îles Sous-le-Vent de la Société. En collaboration avec divers membres d’équipage de l’Endeavour de James Cook, en deux temps distincts de cartographie et trois ébauches. L’identité de bien des îles qui y figurent et la logique de leur agencement demeuraient jusqu’à présent des énigmes. En se fiant en partie à des pièces d’archives restées ignorées, nous proposons, dans ce long essai, une nouvelle compréhension de sa logique cartographique, une reconstitution détaillée de sa genèse et donc, pour la toute première fois, une lecture exhaustive. La carte de Tupaia n’illustre pas seulement la magnitude et la maîtrise de la navigation polynésienne, elle réalise aussi une remarquable synthèse représentationnelle de deux systèmes d’orientation très différents.
La carte de Tupaia constitue l’un des artéfacts les plus célèbres et les plus énigmatiques à émerger des toutes premières rencontres entre Européens et îliens du Pacifique. Elle a été élaborée entre août 1769 et février 1770 par Tupaia, prêtre ’arioi, conseiller royal et maître de navigation originaire de Ra’iātea, aux Îles Sous-le-Vent de la Société. En collaboration avec divers membres d’équipage de l’Endeavour de James Cook, en deux temps distincts de cartographie et trois ébauches. L’identité de bien des îles qui y figurent et la logique de leur agencement demeuraient jusqu’à présent des énigmes. En se fiant en partie à des pièces d’archives restées ignorées, nous proposons, dans ce long essai, une nouvelle compréhension de sa logique cartographique, une reconstitution détaillée de sa genèse et donc, pour la toute première fois, une lecture exhaustive. La carte de Tupaia n’illustre pas seulement la magnitude et la maîtrise de la navigation polynésienne, elle réalise aussi une remarquable synthèse représentationnelle de deux systèmes d’orientation très différents.