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Im Fluss
(2021)
A grammar of authority?
(2021)
Directive Speech Acts (dsas) are a major feature of historical pragmatics, specifically in research on historical (im)politeness. However, for Classical French, there is a lack of research on related phenomena. In our contribution, we present two recently constructed corpora covering the period of Classical French, sermo and apwcf. We present these corpora in terms of their genre characteristics on a communicative-functional and socio-pragmatic level. Based on the observation that, both in sermo and apwcf, dsas frequently occur together with terms of address, we analyse and manually code a sample based on this co-occurrence, and we compare the results with regard to special features in the individual corpora. The emerging patterns show a clear correspondence between socio-pragmatic factors and the linguistic means used to realise dsas. We propose that these results can be interpreted as signs of an underlying "grammar of authority".
Résumé: L’appropriation du poème par le dessinateur : le cycle de Botticelli sur la ‚Divine Comédie‘. La contribution se concentre sur deux points fondamentaux : 1) les caractéristiques qui distinguent le commentaire en images de Botticelli et l’enluminure de la ‚Divine Comédie‘ aux XIVe et XVe siècles ; 2) la préséance donnée au poète ou au peintre dans la rivalité entre les arts et le comportement de Botticelli face au « visibile parlare » de Dante. Au sujet de 1) La reconstruction de l’album original de la ‚Divine Comédie‘ contenant les dessins de Botticelli (Ill. 1) montre déjà une mise en valeur de l’image. Le format horizontal de l’ouvrage, qui accorde autant de place au dessin qu’au texte, annonce le nouvel esprit de l’époque, celui d’une rivalité entre la peinture et la poésie. L’image peinte renforce l’impact de l’enargeia du texte. Tandis que l’illustration, en tant que visualisation, contribue à rendre le texte plus compréhensible, le commentaire, lui, représente un élément de réflexion supplémentaire à ce que décrit l’auteur, une explication complémentaire, quelque chose de propre, qui ne survient pas dans le texte, un écart, donc, qu’il faut détecter lors de l’analyse. Un exemple de cette plus-value que l’artiste crée avec cet écart, sont les adieux de Béatrice à Dante représentés sur le feuillet de Pd. XXX (Ill. 2). Un autre exemple en est la personnification des « faville vive » (= les étincelles vivantes) que Botticelli, conformément au goût de l’époque, transpose en angelots. Même si la représentation des « faville vive » en anges (certes adultes) survient déjà dans les enluminures du poème (cf. Ill. 3 et 4), la conception de l’écart chez Botticelli est moins schématique mais plus efficace et convaincante, elle va jusqu’à l’enchantement de l’observateur. Au sujet de 2) En nous fondant sur le dessin de Pg. X (Ill. 5), nous analysons la différence de la compréhension du « visibile parlare » chez Dante et Botticelli. Si chez Dante, le « visibile parlare » est une parole divine, Botticelli, lui, représente les oeuvres de Dieu en tant qu’images dans l’image, il les encadre et les inclue dans le cadre de son feuillet à dessin. À travers ce redoublement de l’image, ou mise en abyme, il montre cependant en même temps de manière autoréflexive qu’elles se situent sur une seule et même surface, à savoir le domaine de l’art. Botticelli pose la représentation du sacré dans le cadre de son feuillet et nous fait prendre conscience ainsi du fait qu’il s’agit de l’oeuvre d’un artiste terrestre. L’art de Botticelli incarne ainsi lui-même un geste de modestie et se subordonne à l’humilité à laquelle le Canto aspire à instruire. On retrouve cette humilité de Botticelli dans son dessin de Pg. XI (Ill. 6), sur lequel l’artiste de la Renaissance sûr de soi met en scène la purification douloureuse de son orgueil et un apprentissage de l’humilité. Le dessin de Pd. XXVIII (Ill. 7 et 8) montre le détail d’un autoportrait de Botticelli déguisé en ange et dans une pose ludique. Avec sa plaque, il s’immortalise ici en tant que créateur du cycle des dessins. Botticelli semble être sûr de l’importance de sa contribution artistique et originale à l’oeuvre de Dante. Ironiquement, le dessinateur ne se dote que d’une seule aile, alors que le personnage de Dante utilise le mot ‘ailes’ au pluriel afin de se référer à lui-même en tant que poète : « ma non e da ciò le proprie penne : » (Pd. XXXIII, 139). Ainsi, Botticelli en tant qu’interprète dessinateur du poète pourrait finalement reconnaître la préséance de ce dernier. Quant aux chants Pd. XXXI et Pd. XXXIII, nous disposons exclusivement du texte ; les pages réservées aux images sont restées vierges. En ce qui concerne le feuillet de Pd. XXXIII, il s’agit probablement d’un « blanc » volontaire. On peut reconnaître ici – et cela s’esquisse déjà sur le feuillet XXXII (Ill. 9) – un renoncement de la part de l’artiste. Ce que Dante clame à plusieurs reprises dans le chant XXXIII à l’aide de la parole, à savoir son incapacité à verbaliser ce qu’il a vu ou ce qu’il imagine, a poussé Botticelli à laisser sa plume au repos. On peut ainsi voir comme raison à ce renoncement la prise de conscience de Botticelli des frontières de la représentation picturale. Dante lui-même a renoncé à la fin au langage illustré de ses tableaux de mots : « A l’alta fantasia qui mancò possa » (Pd. XXXIII, 142). En conséquence, Botticelli y renonce également.
Premessa
(2021)
Dante e Botticelli
(2021)
Wissenschaftliches Arbeiten
(2021)
Die formalen und theoretischen Grundlagen wissenschaftlichen Arbeitens spielen in der akademischen Weiterbildung und darüber hinaus auch im Geschäftsalltag eine - zumeist unterschätzte - Rolle: Gerade im Managementkontext müssen aus selbst erhobenen oder recherchierten Informationen gutachterliche Stellungnahmen erarbeitet und dabei die Grundsätze ordnungsgemäßer wissenschaftlicher Arbeit beachtet werden. Die Erstellung solcher Texte erfordert neben der Fähigkeit zur Formulierung bzw. Abgrenzung einer forschungsleitenden Frage und zur gezielten Informationsrecherche auch spezifische Fähigkeiten im Schreibprozess und beim Belegen von Quellen. Diese Kompetenzen sollen im Rahmen eines "Refresher"-Kurses, der als Grundlage für dieses Werk dient, so vermittelt werden, dass sowohl Studierende als auch Fach- und Führungskräfte aus der Praxis schnell informiert werden.
En 1797 se publicó en París una obra poco extensa en dos volúmenes bajo el título de Pasigraphie en las versiones francesa y alemana. Se dice que el término pasigrafía fue creado por el autor Joseph de Maimieux (1753-1820). Con la invención de la pasigrafía, Maimieux tuvo como objetivo crear una escritura conceptual que pudiera aplicarse a todos los idiomas. De esta manera, un texto escrito en esta escritura podría ser leído en todos los idiomas. El sistema pasigráfico se basa en un sistema de clasificación conceptual a priori al que se le asignan caracteres escritos. Se trata, pues, inicialmente de una lengua exclusivamente escrita sobre la que Maimieux dos años más tarde construyó también una lengua hablada o Pasilalía. Ya desde el círculo de los ideólogos se presentaron argumentos serios contra el intento de la Pasigrafía que fue afirmado particularmente por Johann Severin Vater. La diferencia decisiva entre Maimieux y sus críticos radica en la determinación de la función de los signos en la formación de conceptos. Mientras que para Maimieux los signos solo nombran los conceptos preestablecidos, para sus críticos los signos tienen una función en la constitución de los conceptos. Por lo tanto, un lenguaje universal no es posible en última instancia, ya que no hay conceptos universales y los lenguajes individuales conducen a estructuras conceptuales diferentes.
Présentation
(2020)
RESUME Cette etude propose d'explorer et d'identifier des moments particuliers oU le changement linguistique se produit, afin de confirmer ou de rejeter l'idee d'une periode specifique designee par le terme << francais preclassique >>, avec une rupture - ou frontiere chronolectale - detectable autour de 1630 (cf. Ayres-Bennett et Caron, 2016). Afin de verifier dans quelle mesure cette chronologie peut etre confirmee, il est necessaire de multiplier des analyses fines et pointues sur des traits linguistiques qui ont subi des changements a l'epoque en question et d'interroger une gamme de textes qui refletent la variation discursive et pragmatique, au lieu de consulter le canon des traditions textuelles actuellement disponibles sur des bases numerisees, qui sont essentiellement litteraires. C'est pourquoi nous avons consulte des sources de nature differente, qui pourraient attester des usages emergents, a savoir les corpus du Reseau Corpus Francais Preclassique et Classique (RCFC). Seront presentes les resultats de deux etudes de cas (la recategorisation des formes dedans/dessous/dessus/dehors et la montee des clitiques), abondamment discutes par les remarqueurs.
Más allá de la oscuridad
(2020)
En los últimos años, la crítica ha vuelto a enfatizar el vínculo de la escritura gongorina la épica y los subgéneros denominados “heroicos” (Mercedes Blanco, Jesús Ponce Cárdenas). Esta nueva perspectiva significa un cambio importante respecto a la recepción del poeta instaurada por la Generación del 27 y en particular por Dámaso Alonso. Limitándose a las Soledades de Góngora, el presente artículo explora las consecuencias de este nuevo paradigma, más allá de un Góngora puramente lírico. Metodológicamente, proponemos dejar atrás la dialéctica idealista o marxista de forma-contenido (la ideología de la forma de Fredric Jameson), por considerarla un enfoque anacrónico en el caso de Góngora. Sin embargo, encontramos un acercamiento filológico viable en el compromiso de la forma del temprano Barthes, que trata de esquivar la dialéctica de forma-contenido y volver a un gesto de escritura (écriture). La hipótesis del presente artículo sería, pues, que no se ha reflexionado suficientemente sobre el gesto de la escritura gongorina en las Soledades: una escritura que piratea el lenguaje épico.
Feld und Stil
(2020)