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-Ingo Schwarz, Vera M. Kutzinski: A Letter from Alexander von Humboldt to Joseph Albert Wright – Archival Traces
-Foni Le Brun-Ricalens, Leonardo López Luján, Claude Wey: Alexander von Humboldts „Aztekische Priesterin“ alias die Chalchiuhtlicue aus der Sammlung Guillermo Dupaix. Historiografischer Essay einer Translokation von Mexico-Stadt nach London
-Eberhard Knobloch: Leibniz und Alexander von Humboldt
-Irene Prüfer Leske: Wie stand es nun wirklich um Bonpland? Kritische Überlegungen zu Frank Holls Untersuchung zu Bonpland, seiner Beziehung zu Alexander von Humboldt und der Darstellung der letzten Tage von Bonpland durch Avé-Lallemant
-Leonhard Salzer, Anna Nöbauer: (Auf) Humboldts Spuren Eine bauforscherische Untersuchung der „Casa Humboldt“ am Antisana in Ecuador
-Renate Sternagel: Alexander von Humboldt, Therese von Bacheracht, und die „verhängnissvolle Prosa des Lebens“
-Ulrich Stottmeister: Der Mineraloge August Schmidt und die Entdeckung der Ural-Diamanten 1829 Teil I: Schmidts Weg in den Ural und die Diamanten-Vorhersage
-Kurt-R. Biermann (1919 – 2002) und Ingo Schwarz: Der polyglotte Alexander von Humboldt (mit einer Vorbemerkung von Jürgen Trabant)
-Tobias Kraft: Filología nómada. Repensar la obra de Alexander von Humboldt con la obra de Ottmar Ette (y viceversa)
Résumé: L’appropriation du poème par le dessinateur : le cycle de Botticelli sur la ‚Divine Comédie‘. La contribution se concentre sur deux points fondamentaux : 1) les caractéristiques qui distinguent le commentaire en images de Botticelli et l’enluminure de la ‚Divine Comédie‘ aux XIVe et XVe siècles ; 2) la préséance donnée au poète ou au peintre dans la rivalité entre les arts et le comportement de Botticelli face au « visibile parlare » de Dante. Au sujet de 1) La reconstruction de l’album original de la ‚Divine Comédie‘ contenant les dessins de Botticelli (Ill. 1) montre déjà une mise en valeur de l’image. Le format horizontal de l’ouvrage, qui accorde autant de place au dessin qu’au texte, annonce le nouvel esprit de l’époque, celui d’une rivalité entre la peinture et la poésie. L’image peinte renforce l’impact de l’enargeia du texte. Tandis que l’illustration, en tant que visualisation, contribue à rendre le texte plus compréhensible, le commentaire, lui, représente un élément de réflexion supplémentaire à ce que décrit l’auteur, une explication complémentaire, quelque chose de propre, qui ne survient pas dans le texte, un écart, donc, qu’il faut détecter lors de l’analyse. Un exemple de cette plus-value que l’artiste crée avec cet écart, sont les adieux de Béatrice à Dante représentés sur le feuillet de Pd. XXX (Ill. 2). Un autre exemple en est la personnification des « faville vive » (= les étincelles vivantes) que Botticelli, conformément au goût de l’époque, transpose en angelots. Même si la représentation des « faville vive » en anges (certes adultes) survient déjà dans les enluminures du poème (cf. Ill. 3 et 4), la conception de l’écart chez Botticelli est moins schématique mais plus efficace et convaincante, elle va jusqu’à l’enchantement de l’observateur. Au sujet de 2) En nous fondant sur le dessin de Pg. X (Ill. 5), nous analysons la différence de la compréhension du « visibile parlare » chez Dante et Botticelli. Si chez Dante, le « visibile parlare » est une parole divine, Botticelli, lui, représente les oeuvres de Dieu en tant qu’images dans l’image, il les encadre et les inclue dans le cadre de son feuillet à dessin. À travers ce redoublement de l’image, ou mise en abyme, il montre cependant en même temps de manière autoréflexive qu’elles se situent sur une seule et même surface, à savoir le domaine de l’art. Botticelli pose la représentation du sacré dans le cadre de son feuillet et nous fait prendre conscience ainsi du fait qu’il s’agit de l’oeuvre d’un artiste terrestre. L’art de Botticelli incarne ainsi lui-même un geste de modestie et se subordonne à l’humilité à laquelle le Canto aspire à instruire. On retrouve cette humilité de Botticelli dans son dessin de Pg. XI (Ill. 6), sur lequel l’artiste de la Renaissance sûr de soi met en scène la purification douloureuse de son orgueil et un apprentissage de l’humilité. Le dessin de Pd. XXVIII (Ill. 7 et 8) montre le détail d’un autoportrait de Botticelli déguisé en ange et dans une pose ludique. Avec sa plaque, il s’immortalise ici en tant que créateur du cycle des dessins. Botticelli semble être sûr de l’importance de sa contribution artistique et originale à l’oeuvre de Dante. Ironiquement, le dessinateur ne se dote que d’une seule aile, alors que le personnage de Dante utilise le mot ‘ailes’ au pluriel afin de se référer à lui-même en tant que poète : « ma non e da ciò le proprie penne : » (Pd. XXXIII, 139). Ainsi, Botticelli en tant qu’interprète dessinateur du poète pourrait finalement reconnaître la préséance de ce dernier. Quant aux chants Pd. XXXI et Pd. XXXIII, nous disposons exclusivement du texte ; les pages réservées aux images sont restées vierges. En ce qui concerne le feuillet de Pd. XXXIII, il s’agit probablement d’un « blanc » volontaire. On peut reconnaître ici – et cela s’esquisse déjà sur le feuillet XXXII (Ill. 9) – un renoncement de la part de l’artiste. Ce que Dante clame à plusieurs reprises dans le chant XXXIII à l’aide de la parole, à savoir son incapacité à verbaliser ce qu’il a vu ou ce qu’il imagine, a poussé Botticelli à laisser sa plume au repos. On peut ainsi voir comme raison à ce renoncement la prise de conscience de Botticelli des frontières de la représentation picturale. Dante lui-même a renoncé à la fin au langage illustré de ses tableaux de mots : « A l’alta fantasia qui mancò possa » (Pd. XXXIII, 142). En conséquence, Botticelli y renonce également.
Cosa avviene quando coscienze linguistiche distinte, oltre ad essere separate dall’epoca, dall’area geografica di provenienza o dalla differenziazione sociale, dalle diverse dimensioni linguistiche, appartengono anche a domini semiotici diversi? È quel che accade ogni volta che comunichiamo in rete, l’interazione digitale è infatti l’ambito di comunicazione ibrido per eccellenza: in esso alla mescolanza di lingue diverse si sovrappone la mescolanza di codici diversi. Partendo dal presupposto che siano i nuovi bisogni espressivi e le nuove situazioni comunicative a spingere verso le innovazioni linguistiche, sembra dunque interessante tener conto del rilievo assunto dal repertorio visuale – e più in generale multimodale – nell’uso spontaneo dei nuovi media e constatare come le particolari strategie di costruzione del significato attualmente in atto non possano ormai più prescindere da queste seconde dimensioni. Del loro peso nell’uso digitale della lingua è bene avere consapevolezza per affrontare senza pregiudizi tutte le novità ad essa connesse. Un ruolo di centrale importanza nell’approccio al linguaggio verbale in Internet è legato alla funzione indessicale della lingua che, unito alla presenza di un archivio di riferimento di conoscenze del mondo condiviso, innesca un nuovo tipo d’inferenzialità nel ricevente. La conversazione attraverso i social network consente infatti azioni che non necessariamente sono presenti nello scambio vis-a-vis, ma che invece sono peculiari di Facebook, Twitter, G+, Instagram, Flickr e in generale dei social network: la condivisione di materiale multimediale di vario genere, l’opzione di richiamare i messaggi relativi a un tema specifico e la possibilità di glossarlo. Il materiale multimediale diventa così al tempo stesso parte integrante della comunicazione e modalità espressiva, focus del discorso e linguaggio metaforico condiviso. Questo lavoro di ricerca indaga come ambiti di ricerca diversi, e apparentemente distanti fra loro, possano interagire produttivamente con il panorama scientifico delle scienze del linguaggio, dell’immagine e della comunicazione, giungendo alla formulazione di un modello aggiornato dell'ibridazione linguistica che caratterizza la comunicazione in rete.
Was ist HipHop?
(2021)
Es handelt sich bei der vorliegenden Dissertation um eine investigative Forschungsarbeit, die sich mit dem dynamisch wandelnden HipHop-Phänomen befasst. Der Autor erläutert hierbei die anhaltende Attraktivität des kulturellen Phänomens HipHop und versucht die Tatsache der stetigen Reproduzierbarkeit des HipHops genauer zu erklären. Daher beginnt er mit einer historischen Diskursanalyse der HipHop-Kultur. Er analysiert hierfür die Formen, die Protagonisten und die Diskurse des HipHops, um diesen besser verstehen zu können. Durch die Herausarbeitung der genuinen Eigenschaft der Mehrfachkodierbarkeit des HipHops werden gängige Erklärungsmuster aus Wissenschaft und Medien relativiert und kritisiert. Der Autor kombiniert in seiner Studie kultur- und erziehungswissenschaftliche Literatur mit diversen aktuellen und historischen Darstellungen und Bildern. Es werden vor allem bildbasierte Selbstinszenierungen von HipHoppern und Selbstzeugnisse aus narrativen Interviews, die er selbst mit verschiedenen HipHoppern in Deutschland geführt hat, ausgewertet. Neben den narrativen Interviews dient vor allem die Bildinterpretation nach Bohnsack als Quelle zur Bildung der These der Mehrfachkodierbarkeit. Hierbei werden zwei Bilder der HipHopper Lady Bitch Ray und Kollegah nach Bohnsack (2014) interpretiert und gezeigt wie HipHop neben der lyrischen und der klanglichen Komponente auch visuell inszeniert und produziert wird. Hieraus wird geschlussfolgert, dass es im HipHop möglich ist konträre Sichtweisen bei gleichzeitiger Anwendung von typischen Kulturpraktiken wie zum Beispiel dem Boasting darzustellen und zu vermitteln. Die stetige Offenheit des HipHops wird durch Praktiken wie dem Sampling oder dem Battle deutlich und der Autor erklärt, dass durch diese Techniken die generative Eigenschaft der Mehrfachkodierbarkeit hergestellt wird. Damit vertritt er eine Art Baukasten-Theorie, die besagt, dass sich prinzipiell jeder aus dem Baukasten HipHop, je nach Vorliebe, Interesse und Affinität, bedienen kann. Durch die Vielfalt an Meinungen zu HipHop, die der Autor durch die Kodierung der geführten narrativen Interviews erhält, wird diese These verdeutlicht und es wird klar, dass es sich bei HipHop um mehr als nur eine Mode handelt. HipHop besitzt die prinzipielle Möglichkeit durch die Offenheit, die er in sich trägt, sich stetig neu zu wandeln und damit an Beliebtheit und Popularität zuzunehmen. Die vorliegende Arbeit erweitert damit die immer größer werdende Forschung in den HipHop-Studies und setzt wichtige Akzente um weiter zu forschen und HipHop besser verständlich zu machen.
Das klinische Tagebuch
(2021)
In vorliegender Arbeit werden die Gefahren und Chancen des gemeinschaftlichen Zusammenlebens im Exil am Beispiel der ehemaligen Colonia Dignidad in Chile analysiert. Die Colonia Dignidad (dt.: Kolonie der Würde) wurde 1961 von Mitgliedern einer deutschen Sekte im Zentrum des Landes, ca. 400 km südlich von Santiago entfernt, gegründet. Nach außen präsentierte sich die Gemeinschaft als glückliche und zufriedene deutsche Enklave, die ihre heimatlichen Traditionen und Bräuche im Ausland weiterhin pflegt. Mit dem Ende der Militärdiktatur unter Augusto Pinochet 1990 und dem damit verbundenen Wegfall der politischen Rückendeckung der Gemeinschaft, begann die chilenische Justiz die schon länger bestehenden Vorwürfe gegen den damaligen Sektenführer Paul Schäfer, u. a. wegen Kindesmissbrauchs und Folter an chilenischen Oppositionellen während der Militärdiktatur, zu untersuchen. Dem chilenischen Haftbefehl acht Jahre später entzog sich Paul Schäfer durch seine Flucht nach Argentinien. Die zurückbleibenden Mitglieder der Colonia Dignidad waren aufgrund des einsetzenden Zerfalls der alten Gemeinschaftsordnung gezwungen, sich ein neues Gemeinschaftskonzept zu erarbeiten, eines, in dem die bisher so dominante Führerfigur fehlte.
Sowohl das Gemeinschaftsleben in der Colonia Dignidad zwischen 1961 und 1998 als auch das Zusammenleben in der heutigen Villa Baviera ab 1998 wird anhand der Theorien zur Gemeinschaftsforschung von Ferdinand Tönnies, Georg Vobruba, Zygmunt Baumann, Matthias Grundmann und Stephan Drucks analysiert. Im Findungsprozess eines neuen Gemeinschaftskonzeptes waren die Mitglieder der ehemaligen Colonia Dignidad gezwungen, sich mit der Vergangenheit auseinanderzusetzen. In diesem Zusammenhang wird der Frage nachgegangen, inwiefern eine Aufarbeitung der Vergangenheit (memoria) im kulturwissenschaftlichen und psychologischen Sinne stattfand bzw. stattfindet und wenn ja, wie sich diese gestaltete bzw. gestaltet. Hierzu wird untersucht, welche staatlichen Maßnahmen zur Unterstützung des Neuanfangs der Gemeinschaft getroffen wurden und welchen Erfolg diese Maßnahmen hatten. Basierend auf den daraus gewonnenen Resultaten und der aktuellen Selbstdarstellung der Villa Baviera in ihrer Webpräsenz, wird das neue Gemeinschaftskonzept der ehemaligen Colonia Dignidad auf die Chancen des Zusammenlebens hin analysiert. Weiterführend werden Konzepte zum kollektiven Gedächtnis untersucht, von dem „Familiengedächtnis“ auf ein „Gemeinschaftsgedächtnis“ übertragen und mit der Frage nach der konstruktiven memoria innerhalb der Villa Baviera verbunden. Abschließend wird der Frage nachgegangen, welche positiven Aspekte des Gemeinschaftslebens einer intentionalen Gemeinschaft auf das Gemeinschaftsleben der Villa Baviera übertragen werden könnten.
Die senegalesische Autorin Mariama Bâ verfasste zwei Romane: Une si longue lettre und Un chant écarlate. In diesen Romanen thematisiert sie die gesellschaftlichen Missstände in der senegalesischen Bevölkerung. Als erste weibliche Autorin verschafft sie der Weiblichkeit einen Sprung aus dem Schatten der männlichen Führung. Mit den Themen der Polygamie und der Gleichstellung der Frau verfasst sie zwei allgegenwärtig bedeutsame Romane. Die Arbeit fokussiert drei Motive für eine inhaltliche Literaturanalyse, um sich den Lebensumständen der fiktiven Figuren anzunähern. Es wird nachgewiesen, welchen Einfluss die gewählten Faktoren: Leid, Erinnerung und kulturelle Landschaften auf die Figuren haben und wie sie mit ihrem individuellen Lebensweg umgehen.