Institut für Romanistik
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Résumé: L’appropriation du poème par le dessinateur : le cycle de Botticelli sur la ‚Divine Comédie‘. La contribution se concentre sur deux points fondamentaux : 1) les caractéristiques qui distinguent le commentaire en images de Botticelli et l’enluminure de la ‚Divine Comédie‘ aux XIVe et XVe siècles ; 2) la préséance donnée au poète ou au peintre dans la rivalité entre les arts et le comportement de Botticelli face au « visibile parlare » de Dante. Au sujet de 1) La reconstruction de l’album original de la ‚Divine Comédie‘ contenant les dessins de Botticelli (Ill. 1) montre déjà une mise en valeur de l’image. Le format horizontal de l’ouvrage, qui accorde autant de place au dessin qu’au texte, annonce le nouvel esprit de l’époque, celui d’une rivalité entre la peinture et la poésie. L’image peinte renforce l’impact de l’enargeia du texte. Tandis que l’illustration, en tant que visualisation, contribue à rendre le texte plus compréhensible, le commentaire, lui, représente un élément de réflexion supplémentaire à ce que décrit l’auteur, une explication complémentaire, quelque chose de propre, qui ne survient pas dans le texte, un écart, donc, qu’il faut détecter lors de l’analyse. Un exemple de cette plus-value que l’artiste crée avec cet écart, sont les adieux de Béatrice à Dante représentés sur le feuillet de Pd. XXX (Ill. 2). Un autre exemple en est la personnification des « faville vive » (= les étincelles vivantes) que Botticelli, conformément au goût de l’époque, transpose en angelots. Même si la représentation des « faville vive » en anges (certes adultes) survient déjà dans les enluminures du poème (cf. Ill. 3 et 4), la conception de l’écart chez Botticelli est moins schématique mais plus efficace et convaincante, elle va jusqu’à l’enchantement de l’observateur. Au sujet de 2) En nous fondant sur le dessin de Pg. X (Ill. 5), nous analysons la différence de la compréhension du « visibile parlare » chez Dante et Botticelli. Si chez Dante, le « visibile parlare » est une parole divine, Botticelli, lui, représente les oeuvres de Dieu en tant qu’images dans l’image, il les encadre et les inclue dans le cadre de son feuillet à dessin. À travers ce redoublement de l’image, ou mise en abyme, il montre cependant en même temps de manière autoréflexive qu’elles se situent sur une seule et même surface, à savoir le domaine de l’art. Botticelli pose la représentation du sacré dans le cadre de son feuillet et nous fait prendre conscience ainsi du fait qu’il s’agit de l’oeuvre d’un artiste terrestre. L’art de Botticelli incarne ainsi lui-même un geste de modestie et se subordonne à l’humilité à laquelle le Canto aspire à instruire. On retrouve cette humilité de Botticelli dans son dessin de Pg. XI (Ill. 6), sur lequel l’artiste de la Renaissance sûr de soi met en scène la purification douloureuse de son orgueil et un apprentissage de l’humilité. Le dessin de Pd. XXVIII (Ill. 7 et 8) montre le détail d’un autoportrait de Botticelli déguisé en ange et dans une pose ludique. Avec sa plaque, il s’immortalise ici en tant que créateur du cycle des dessins. Botticelli semble être sûr de l’importance de sa contribution artistique et originale à l’oeuvre de Dante. Ironiquement, le dessinateur ne se dote que d’une seule aile, alors que le personnage de Dante utilise le mot ‘ailes’ au pluriel afin de se référer à lui-même en tant que poète : « ma non e da ciò le proprie penne : » (Pd. XXXIII, 139). Ainsi, Botticelli en tant qu’interprète dessinateur du poète pourrait finalement reconnaître la préséance de ce dernier. Quant aux chants Pd. XXXI et Pd. XXXIII, nous disposons exclusivement du texte ; les pages réservées aux images sont restées vierges. En ce qui concerne le feuillet de Pd. XXXIII, il s’agit probablement d’un « blanc » volontaire. On peut reconnaître ici – et cela s’esquisse déjà sur le feuillet XXXII (Ill. 9) – un renoncement de la part de l’artiste. Ce que Dante clame à plusieurs reprises dans le chant XXXIII à l’aide de la parole, à savoir son incapacité à verbaliser ce qu’il a vu ou ce qu’il imagine, a poussé Botticelli à laisser sa plume au repos. On peut ainsi voir comme raison à ce renoncement la prise de conscience de Botticelli des frontières de la représentation picturale. Dante lui-même a renoncé à la fin au langage illustré de ses tableaux de mots : « A l’alta fantasia qui mancò possa » (Pd. XXXIII, 142). En conséquence, Botticelli y renonce également.
Was ist HipHop?
(2021)
Es handelt sich bei der vorliegenden Dissertation um eine investigative Forschungsarbeit, die sich mit dem dynamisch wandelnden HipHop-Phänomen befasst. Der Autor erläutert hierbei die anhaltende Attraktivität des kulturellen Phänomens HipHop und versucht die Tatsache der stetigen Reproduzierbarkeit des HipHops genauer zu erklären. Daher beginnt er mit einer historischen Diskursanalyse der HipHop-Kultur. Er analysiert hierfür die Formen, die Protagonisten und die Diskurse des HipHops, um diesen besser verstehen zu können. Durch die Herausarbeitung der genuinen Eigenschaft der Mehrfachkodierbarkeit des HipHops werden gängige Erklärungsmuster aus Wissenschaft und Medien relativiert und kritisiert. Der Autor kombiniert in seiner Studie kultur- und erziehungswissenschaftliche Literatur mit diversen aktuellen und historischen Darstellungen und Bildern. Es werden vor allem bildbasierte Selbstinszenierungen von HipHoppern und Selbstzeugnisse aus narrativen Interviews, die er selbst mit verschiedenen HipHoppern in Deutschland geführt hat, ausgewertet. Neben den narrativen Interviews dient vor allem die Bildinterpretation nach Bohnsack als Quelle zur Bildung der These der Mehrfachkodierbarkeit. Hierbei werden zwei Bilder der HipHopper Lady Bitch Ray und Kollegah nach Bohnsack (2014) interpretiert und gezeigt wie HipHop neben der lyrischen und der klanglichen Komponente auch visuell inszeniert und produziert wird. Hieraus wird geschlussfolgert, dass es im HipHop möglich ist konträre Sichtweisen bei gleichzeitiger Anwendung von typischen Kulturpraktiken wie zum Beispiel dem Boasting darzustellen und zu vermitteln. Die stetige Offenheit des HipHops wird durch Praktiken wie dem Sampling oder dem Battle deutlich und der Autor erklärt, dass durch diese Techniken die generative Eigenschaft der Mehrfachkodierbarkeit hergestellt wird. Damit vertritt er eine Art Baukasten-Theorie, die besagt, dass sich prinzipiell jeder aus dem Baukasten HipHop, je nach Vorliebe, Interesse und Affinität, bedienen kann. Durch die Vielfalt an Meinungen zu HipHop, die der Autor durch die Kodierung der geführten narrativen Interviews erhält, wird diese These verdeutlicht und es wird klar, dass es sich bei HipHop um mehr als nur eine Mode handelt. HipHop besitzt die prinzipielle Möglichkeit durch die Offenheit, die er in sich trägt, sich stetig neu zu wandeln und damit an Beliebtheit und Popularität zuzunehmen. Die vorliegende Arbeit erweitert damit die immer größer werdende Forschung in den HipHop-Studies und setzt wichtige Akzente um weiter zu forschen und HipHop besser verständlich zu machen.
Das klinische Tagebuch
(2021)
Die senegalesische Autorin Mariama Bâ verfasste zwei Romane: Une si longue lettre und Un chant écarlate. In diesen Romanen thematisiert sie die gesellschaftlichen Missstände in der senegalesischen Bevölkerung. Als erste weibliche Autorin verschafft sie der Weiblichkeit einen Sprung aus dem Schatten der männlichen Führung. Mit den Themen der Polygamie und der Gleichstellung der Frau verfasst sie zwei allgegenwärtig bedeutsame Romane. Die Arbeit fokussiert drei Motive für eine inhaltliche Literaturanalyse, um sich den Lebensumständen der fiktiven Figuren anzunähern. Es wird nachgewiesen, welchen Einfluss die gewählten Faktoren: Leid, Erinnerung und kulturelle Landschaften auf die Figuren haben und wie sie mit ihrem individuellen Lebensweg umgehen.
Nach den beiden großen Forschungsreisen konzentrierte Ehrenberg seine Arbeit in Berlin auf die systematische Beschreibung von Kleinstlebewesen, die sogenannten Infusorien. 1838 erschien eines seiner Hauptwerke, Die Infusionsthierchen als vollkommene Organismen. Ein Blick in das tiefere organische Leben der Natur. Ehrenberg untersuchte tausende Proben aus aller Welt und wies Infusorien auf dem Grund der Weltmeere, in atmosphärischem Staub und in Hochgebirgen nach. Ausgehend von diesen Befunden beschäftigte er sich mit dem Anteil einzelliger kieselschaliger Mikroorganismen an der Bildung von Erden und geologischen Formationen. 1854 legte er die Mikrogeologie vor: In 41 Bildtafeln gab er weltweite „geographische Uebersichten über das kleine jetzige erdbildende Leben“. Christian Gottfried Ehrenberg gilt als Mitbegründer der Boden-Mikrobiologie und Mikropaläontologie sowie als Pionier der Kieselalgenforschung und Protozoologie.
„Eine der größten Freuden meines Lebens würde sein, einmal 5 – 6 Monathe mit Ihnen, an Ihrer Seite, unter Ihrer Belehrung reisen zu können. Süßwassermuscheln, Fische, Bergpflanzen Rußlands sind wenig bekannt.“ Mit diesen Worten lud Alexander von Humboldt seinen Akademiekollegen Ehrenberg zur Teilnahme an der russisch-sibirischen Reise ein, die der preußische Kammerherr auf Einladung des Kaisers Nikolaj I. unternahm. Knapp drei Jahre nach der Rückkehr von der arabisch-afrikanischen Forschungsreise brach Ehrenberg also erneut auf: Am 12. April 1829 traten Humboldt, Ehrenberg und der Mineraloge Gustav Rose ihre Reise in Berlin an. Diese führte sie in knapp neun Monaten und über 19 000 Kilometer in den Ural und durch Westsibirien bis zur russisch-chinesischen Grenzstation Baty. Während Humboldt und Rose die Hüttenbezirke im Ural und Altai inspizierten, legte Ehrenberg botanische und zoologische Sammlungen an.
Heinrich Menu von Minutoli unternahm 1820 eine Reise nach Nordafrika zur Erforschung ägyptischer und griechischer Altertümer. Die Preußische Akademie der Wissenschaften bestimmte die jungen Naturforscher Christian Gottfried Ehrenberg und Wilhelm Hemprich als weitere Teilnehmer.
Während Minutoli bereits ein Jahr nach Beginn der Expedition 1821 nach Europa zurückkehrte, setzten Ehrenberg und Hemprich ihre Forschungen fort. Von Alexandria aus unternahmen sie, zum Teil getrennt, Exkursionen in die libysche Wüste, auf die Sinaihalbinsel, zum Roten Meer, in das Libanongebirge sowie bis in den Sudan und nach Eritrea, wo Hemprich 1825 dem Malariafieber erlag.
Wie von der Akademie der Wissenschaften beauftragt, sammelten Ehrenberg und Hemprich insgesamt 34 000 Tiere, 46 000 Pflanzen und 300 Mineralien. Diese trafen im Laufe der Jahre, verpackt in insgesamt 114 Kisten, in Berlin ein. Die Akademie stellte Mittel für die Auswertung der Sammlungen zur Verfügung. Ehrenbergs Reisebericht blieb aber ebenso Fragment wie das großangelegte Tafelwerk Symbolae physicae.
Geleitwort
(2021)
Als langjähriges und aktives Mitglied der Gesellschaft Naturforschender Freunde zu Berlin bestimmte Ehrenberg ihre Aktivitäten und ihr Ansehen maßgeblich mit. Seine Beiträge zu den Sitzungen und Schriften und seine Rolle als Bewohner des gesellschaftseigenen Hauses förderten in der GNF sowohl Fortschritt als auch Beständigkeit. Das Ziel der Naturgeschichte des 18. Jahrhunderts, also die Entdeckung, Beschreibung und Bewahrung möglichst aller Organismen- und Gesteinsarten, wurde in der GNF bis in die zweite Hälfte des 19. Jahrhunderts tradiert. Ehrenbergs wissenschaftliche Leistungen, insbesondere seine zahlreichen Entdeckungen mit Hilfe des Mikroskops, stehen ganz in dieser Tradition.
Ab Mitte der 1820er Jahre erfuhr die Mikroskop- Technik eine stürmische Entwicklung. Dadurch, dass es gelang, nach und nach die optischen Fehler zu korrigieren, verbesserte sich die Auflösung bis zum Ende des Jahrhunderts um den Faktor 10 von 3 μm auf 0,3 μm. Um 1820 begann Christian Gottfried Ehrenberg mit mikroskopischen Untersuchungen. Er nutzte zunächst ein einfaches Nürnberger Mikroskop. 1832 erwarb er ein Mikroskop aus der Berliner Werkstatt von Pistor & Schiek, das er dann zeitlebens nutzte. Ein Vergleich der Leistungsfähigkeit seines Instruments mit der für seine Untersuchungen notwendigen Auflösung zeigt, dass es für seine Untersuchungen vollkommen genügte. Für seine Untersuchungsobjekte entwickelte er Präparationstechniken und Aufbewahrungsmethoden für die Dauerpräparate. Da er auch die mikroskopischen Abbildungen bis hin zu den Vorlagen für die Kupfertafeln selbst anfertigte, behielt er den gesamten Prozess von der Präparation bis zum Druck der Ergebnisse stets in der Hand.
Die Erforschung und Beschreibung mikroskopischer Organismen durch Christian Gottfried Ehrenberg ist durch seine publizierten Texte und Kupfertafeln in den „Infusionsthierchen“, der „Mikrogeologie“ sowie aus Abhandlungen der Akademie der Wissenschaften überliefert. Zentrale Bedeutung haben seine Zeichenblätter, anfangs alleinige Dokumentation, später komplementiert durch tausende mikroskopischer Dauerpräparate rezenter und fossiler Kieselschalen sowie getrockneter Einzeller. Alle Originalmaterialien Ehrenbergs stehen für die aktuelle Forschung in der Ehrenbergsammlung zur Verfügung. Seine detailgenauen Zeichnungen dienten der Erstbeschreibung einer Vielzahl neuer Arten aus allen Weltteilen. Biogeografische und ökologische Fragestellungen, Beschreibungen von Lebenszyklen sowie außerordentliche Phänomene wie die Färbung von Gewässern und Erden wurden mithilfe zeichnerischer Analysen bearbeitet.
The Russian-Siberian journey, carried out with Alexander von Humboldt and Gustav Rose in 1829 coincided with a decisive phase in Christian Gottfried Ehrenberg’s scientific career. His field diary and the drawings he made on the trip document his intensified focus on the study of microorganisms. The numerous observations on plant and animal geography show how Ehrenberg tested a combination of micro- and macro-perspectives that would shape his research on infusoria in the following decades: In addition to the task of classification at the microscope, Ehrenberg carried out worldwide comparative research on the distribution of microorganisms.
Im Jahr 1820 traten zwei Universitätsabsolventen, Christian Gottfried Ehrenberg und Wilhelm Hemprich, eine Forschungsreise nach Nordafrika an, die eine der ersten vom preußischen Staat maßgeblich getragenen Reiseunternehmungen darstellt. Wesentliches Ziel der Reise war das Sammeln von naturkundlichen Exemplaren für die junge Berliner Museumslandschaft. Der Beitrag ordnet die afrikanische Forschungsreise in die wissenschaftliche Laufbahn Ehrenbergs ein, der als einziger Reisender überlebte, sowie in die Geschichte der Berliner Wissenschaftslandschaft im frühen 19. Jahrhundert. Dabei konzentriert sich der Beitrag auf die Medien – insbesondere Sammlungsverzeichnisse und Sammlungsobjekte – die die Reisenden im Feld einsetzen mussten, um ihre Identität als gelehrte Naturforscher gegenüber ihren Förderern zu inszenieren und damit ihre Position in der preußischen Wissenschaft strategisch zu sichern.
Die Geschichte der Mikrobiologie als Laborwissenschaft des späten 19. Jahrhunderts hat für Ehrenberg keinen Platz. Unmodern, ja fehlerhaft scheinen die Befunde dieses „Humboldt en miniature“, der die Belebtheit von Wasser oder Luft mikroskopisch untersuchte, der Proben aus aller Welt sammelte und so zahlreiche „Infusorien“ genannte Mikroben sowie deren Effekte etwa bei Blutwundern beschrieb, deren Beteiligung an Infektionskrankheiten aber verneinte. Zugleich scheint sein ökologischer Blick auf den Mikrokosmos die Gegenwart auf überraschende Weise anzusprechen – einerseits weil Mikroben omnipräsentes Faszinosum wie Bedrohung bleiben, andererseits weil viele der Prämissen von Pasteur und Koch im Zeitalter der Genomik überholt erscheinen. Ausgehend von der zwiespältigen Position Ehrenbergs fragt dieser Artikel, warum er möglicherweise gerade deswegen spannender ist, als ihn die Historiographie bislang hat erscheinen lassen.
Die Dissertation legt ihren Schwerpunkt auf die synchronische und diachronische Variation im Gebrauch der französischen Kausalkonjunktion parce que sowie auf die Interaktion mit den außersprachlichen Variablen Alter und sozioprofessionelle Kategorie. Basierend auf vorausgehenden makrodiachronischen Studien, die Anhaltspunkte dafür liefern, dass die Konjunktion einen Prozess der Pragmatikalisierung durchlaufen hat und weiterhin durchläuft, wurde ein Untersuchungskorpus von 56 Interviews aus den diachronisch distinkten Korpora ESLO1, ESLO2 und LangAge extrahiert. Dieses Untersuchungskorpus diente als Grundlage für Panelstudien und Trendstudien, die darauf ausgerichtet waren, die Pragmatikalisierung von parce que aus einem mikrodiachronischen Gesichtspunkt zu verifizieren. Zusätzlich zu der diachronischen Perspektive wurde eine synchronische Perspektive eingenommen, um die Variation im Gebrauch der Konjunktion so einem diachronischen Phänomen wie dem age grading oder der apparent time zuordnen zu können. Ausgehend von der Theorie der Konstruktionsgrammatik wurden parce que enthaltende Konstruktionen bottom-up annotiert und in fünf Pragmatikalitätsgrade kategorisiert (pra0–pra4). Diese wurden anschließend quantifiziert und in Abhängigkeit des Geburtsjahres und der sozioprofessionellen Kategorie der (männlichen) Sprecher mithilfe mehrerer R-Modelle wie ctrees, trees, lm, hclust und kmeans analysiert.
Die Frequenzentwicklung der Pragmatikalitätsgrade bestätigte die Pragmatikalisierungshypothese in einem mikrodiachronischen Rahmen. Zudem konnte ein quantitativer Rückgang im Gebrauch der Konstruktionen am nicht- oder weniger pragmatikalisierten (pra0, pra1) Pol festgestellt werden, während Verwendungsweisen höherer Pragmatikalisierungsgrade (pra2–pra4) über 40 Jahre vergleichsweise stabil blieben.
Obwohl für pra2 kein signifikanter Wandel hervortrat, wies dessen Entwicklung bei den Sprechern im mittleren Lebensalter sowie das synchronische Muster in Abhängigkeit von Alter (oder Geburtsjahr) und von sozioprofessioneller Kategorie dennoch in Richtung einer zugrundeliegenden diachronischen Variation. Diese könnte als ein durch die sozialen Transformationen der 1960er und 1970er Jahre katalysiertes Phänomen des age grading interpretiert werden. Für die näher am pragmatischen Pol situierten Gebrauchsweisen (pra3 und pra4) konnte keine klare Tendenz ermittelt werden.
Die Ergebnisse fordern diachronische Konzepte wie age grading und apparent time heraus, indem sie die Simplizität der zugrundeliegenden Mechanismen sowie die gängigen Methoden, diese zu identifizieren, infrage stellen.
Wissenschaftliches Arbeiten
(2021)
Die formalen und theoretischen Grundlagen wissenschaftlichen Arbeitens spielen in der akademischen Weiterbildung und darüber hinaus auch im Geschäftsalltag eine - zumeist unterschätzte - Rolle: Gerade im Managementkontext müssen aus selbst erhobenen oder recherchierten Informationen gutachterliche Stellungnahmen erarbeitet und dabei die Grundsätze ordnungsgemäßer wissenschaftlicher Arbeit beachtet werden. Die Erstellung solcher Texte erfordert neben der Fähigkeit zur Formulierung bzw. Abgrenzung einer forschungsleitenden Frage und zur gezielten Informationsrecherche auch spezifische Fähigkeiten im Schreibprozess und beim Belegen von Quellen. Diese Kompetenzen sollen im Rahmen eines "Refresher"-Kurses, der als Grundlage für dieses Werk dient, so vermittelt werden, dass sowohl Studierende als auch Fach- und Führungskräfte aus der Praxis schnell informiert werden.
En apenas tan pocas lenguas, como en el español, se ha publicado tantos trabajos sobre la evidencialidad en los últimos años. No obstante, en ello se pierde de vista con frecuencia la verdadera función de los marcadores de evidencialidad que hacen referencia al origen del conocimiento del hablante. Además de los marcadores léxicos, se consideran como medios de expresión de la evidencialidad incluso estructuras discursivas y expresiones proposicionales que hacen referencia a la fuente del conocimiento, alejándose demasiado de la restricción a los evidenciales gramaticales. En esta contribución, se intentará ordenar esta posición confusa y desarrollar un modelo de relación entre la evidencialidad y temporalidad, aspectualidad y modalidad que tenga en cuenta la realidad de las circunstancias en el español y sus variedades. Se partirá de un planteamiento onomasiológico hacia los medios de expresión del origen del conocimiento del hablante; al mismo tiempo se analizarán los medios de expresión en cuanto a su polifuncionalidad. La base empírica para este estudio será el análisis de un corpus (SketchEngine, CREA, CORPES XXI) sobre el condicional reportativo e inferencial y su relación con el imperfecto evidencial y futuro inferencial en las diversas variedades del español, así como las condiciones de uso de los adverbios evidenciales-epistémicos.