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Die Verhandlung biografischer Inhalte im Comic wird immer beliebter und sorgt für wachsende Aufmerksamkeit des Feuilletons für das Medium. Im Beitrag wird skizziert, wie welche Persönlichkeiten in Wort und Bild portraitiert werden; zudem werden Unterkategorien der Comic-Biografie herausgearbeitet. Die Sichtung einer Vielzahl aktueller Comics ermöglicht es, erste Antworten auf zwei einander ergänzende Fragen zu finden: Inwiefern profitiert der Comic von der Biografie; und inwiefern profitiert die Biografie vom Comic?
Einleitung
(2008)
Im Fluss
(2021)
Résumé: L’appropriation du poème par le dessinateur : le cycle de Botticelli sur la ‚Divine Comédie‘. La contribution se concentre sur deux points fondamentaux : 1) les caractéristiques qui distinguent le commentaire en images de Botticelli et l’enluminure de la ‚Divine Comédie‘ aux XIVe et XVe siècles ; 2) la préséance donnée au poète ou au peintre dans la rivalité entre les arts et le comportement de Botticelli face au « visibile parlare » de Dante. Au sujet de 1) La reconstruction de l’album original de la ‚Divine Comédie‘ contenant les dessins de Botticelli (Ill. 1) montre déjà une mise en valeur de l’image. Le format horizontal de l’ouvrage, qui accorde autant de place au dessin qu’au texte, annonce le nouvel esprit de l’époque, celui d’une rivalité entre la peinture et la poésie. L’image peinte renforce l’impact de l’enargeia du texte. Tandis que l’illustration, en tant que visualisation, contribue à rendre le texte plus compréhensible, le commentaire, lui, représente un élément de réflexion supplémentaire à ce que décrit l’auteur, une explication complémentaire, quelque chose de propre, qui ne survient pas dans le texte, un écart, donc, qu’il faut détecter lors de l’analyse. Un exemple de cette plus-value que l’artiste crée avec cet écart, sont les adieux de Béatrice à Dante représentés sur le feuillet de Pd. XXX (Ill. 2). Un autre exemple en est la personnification des « faville vive » (= les étincelles vivantes) que Botticelli, conformément au goût de l’époque, transpose en angelots. Même si la représentation des « faville vive » en anges (certes adultes) survient déjà dans les enluminures du poème (cf. Ill. 3 et 4), la conception de l’écart chez Botticelli est moins schématique mais plus efficace et convaincante, elle va jusqu’à l’enchantement de l’observateur. Au sujet de 2) En nous fondant sur le dessin de Pg. X (Ill. 5), nous analysons la différence de la compréhension du « visibile parlare » chez Dante et Botticelli. Si chez Dante, le « visibile parlare » est une parole divine, Botticelli, lui, représente les oeuvres de Dieu en tant qu’images dans l’image, il les encadre et les inclue dans le cadre de son feuillet à dessin. À travers ce redoublement de l’image, ou mise en abyme, il montre cependant en même temps de manière autoréflexive qu’elles se situent sur une seule et même surface, à savoir le domaine de l’art. Botticelli pose la représentation du sacré dans le cadre de son feuillet et nous fait prendre conscience ainsi du fait qu’il s’agit de l’oeuvre d’un artiste terrestre. L’art de Botticelli incarne ainsi lui-même un geste de modestie et se subordonne à l’humilité à laquelle le Canto aspire à instruire. On retrouve cette humilité de Botticelli dans son dessin de Pg. XI (Ill. 6), sur lequel l’artiste de la Renaissance sûr de soi met en scène la purification douloureuse de son orgueil et un apprentissage de l’humilité. Le dessin de Pd. XXVIII (Ill. 7 et 8) montre le détail d’un autoportrait de Botticelli déguisé en ange et dans une pose ludique. Avec sa plaque, il s’immortalise ici en tant que créateur du cycle des dessins. Botticelli semble être sûr de l’importance de sa contribution artistique et originale à l’oeuvre de Dante. Ironiquement, le dessinateur ne se dote que d’une seule aile, alors que le personnage de Dante utilise le mot ‘ailes’ au pluriel afin de se référer à lui-même en tant que poète : « ma non e da ciò le proprie penne : » (Pd. XXXIII, 139). Ainsi, Botticelli en tant qu’interprète dessinateur du poète pourrait finalement reconnaître la préséance de ce dernier. Quant aux chants Pd. XXXI et Pd. XXXIII, nous disposons exclusivement du texte ; les pages réservées aux images sont restées vierges. En ce qui concerne le feuillet de Pd. XXXIII, il s’agit probablement d’un « blanc » volontaire. On peut reconnaître ici – et cela s’esquisse déjà sur le feuillet XXXII (Ill. 9) – un renoncement de la part de l’artiste. Ce que Dante clame à plusieurs reprises dans le chant XXXIII à l’aide de la parole, à savoir son incapacité à verbaliser ce qu’il a vu ou ce qu’il imagine, a poussé Botticelli à laisser sa plume au repos. On peut ainsi voir comme raison à ce renoncement la prise de conscience de Botticelli des frontières de la représentation picturale. Dante lui-même a renoncé à la fin au langage illustré de ses tableaux de mots : « A l’alta fantasia qui mancò possa » (Pd. XXXIII, 142). En conséquence, Botticelli y renonce également.
Das klinische Tagebuch
(2021)
Anton Wilhelm Amo
(2020)
The idea of a linguistic worldview was clearly expressed in German national romantic thought of the early 19th century, where language was seen as the expression of the spirit of a nation. Wilhelm von Humboldt argued that every language shaped the world-view of its speakers, but he also saw a possibility to improve human knowledge in the co-action of languages.
The idea of linguistic relativity can be found in John Locke’s statement that words interpose themselves between our understandings and the truth which it would contemplate and apprehend. In the 18th century, we can find formulations that our language accustoms us to arrange our ideas in a specific way, that some languages are more suitable for certain kinds of thought, or that metaphors have significant influence on peoples’ thought. In the 20thcentury the Neo-Humboldtian school revitalised the idea of an influence of language on thought in a reductionist way. At the end of the 20th century, some authors, for example John J. Gumperz and Stephen C. Levinson, tried to rethink linguistic relativity and to prove it by empirical results.
Sagenhafte WeltFraktale
(2020)
Vorwort
(2020)
Einleitung
(2020)
Alexander von Humboldt
(2020)
Feld und Stil
(2020)
Figura Tropicana
(2020)
Feuer und Flamme
(2020)
Il contributo prende in esame la poetizzazione dell’elemento ›fuoco‹ nell’aldilà dantesco. Nell’Inferno, l’universo metaforico associato al fuoco fa da contrappunto all’interiorizzazione e alla trascendenza che stanno alla base della concezione del fuoco nel Paradiso, dove esso, in senso astratto, viene trasformato in luce e rappresenta anche l’illuminazione spirituale. Dante mette in scena san Tommaso, presentando nelle varie figure il corpus spirituale, che tuttavia nell’Inferno era stato pervertito e caricato di una connotazione quasi parodistica, se confrontato alla solennità sacrale della luce spirituale nel Paradiso. Nella sua qualità di luce, l’elemento ›fuoco‹ diventa la componente più importante delle sfere del Paradiso. L’idea della permanenza di un regno di Dio è simbolicamente veicolata da un uso virtuosistico della gamma metaforica associata alla luce: la visualizzazione del principio supremo del Divino, come esso si costituisce nella dottrina cristiana, è affidata alla forza suggestiva della travolgente poesia.
Nachwort der Herausgeberin
(2019)
The notion of ‘epiphenomenon’ is usually used to exclude certain
aspects of a scientific object because they are considered to be deduced from others. In linguistics, restrictions of the research object were made, invoking the notion of ‘epiphenomenon’, which was partially done with a polemical attitude, and was always responded to polemically. The best-known definition of languages as an epiphenomenon is that proposed by Chomsky, who declared that the specific realisations of language do not warrant scientific attention, but there were early relegations of properties of individual languages to the domain of an epiphenomenon of grammar, to the domain of an art and not a science. These relegations from a certain point of abstraction did advance theories of language, even though they took a point of abstraction that did not correspond to the complexity of language.
Einleitung
(2018)
Corinne oder die Saalnixe. Eine mythische Maskierung in Germaine de Staëls Corinne ou l'Italie
(2018)
Der Kampf um Dordrecht: Topographie der Gewalt und Ethik des Kriegers im Orlando furioso von Ariosto
(2019)
Imago, ombre, sembianze
(2017)
Einleitung
(2016)
Definit oder indefinit?
(2018)
Vorwort der Herausgeberin
(2016)
Die Arbeit befasst sich mit der Schilderung von Paris im Erzählwerk von Delphine de Vigan, unter besonderer Berücksichtigung von zwei Romanen, No et moi (2007) und Les heures souterraines (2009), in denen der Großstadthintergrund einen zentralen Stellenwert erhält. Die Fragestellung richtet sich auf die Aspekte der Stadtdarstellung und auf die Rolle, die unterirdischen Durchgangsräumen dabei zugesprochen wird. Mögliche autoreflexive Deutungen der Stadt-Inszenierung in Bezug auf Sprache und Text, sowie Spuren einer mythisch-realistischen Charakterisierung der Stadt als Projektionsoberfläche des Imaginären
werden zum Schluss betrachtet.
Coca Cola und "Coolitude"
(2013)
Migration und Konvivenz
(2013)
Einleitung
(2013)
Editorische Notiz
(2009)
Editorische Notiz
(2006)
"Tres fines de siglo" : Teil II ; der Modernismo und die Heterogenität von Moderne und Postmoderne
(1999)
Vorwort
(2008)