@article{Lenz2020, author = {Lenz, Markus Alexander}, title = {La guerre et le t{\´e}moin}, series = {(Post-)koloniale frankophone Kriegsreportagen : Genrehybridisierungen, Medienkonkurrenzen}, journal = {(Post-)koloniale frankophone Kriegsreportagen : Genrehybridisierungen, Medienkonkurrenzen}, editor = {Izzo, Sara}, publisher = {Lang}, address = {Berlin}, isbn = {978-3-631-82881-6}, doi = {https://doi.org/10.3726/b17241}, pages = {75 -- 89}, year = {2020}, abstract = {En 2012, l'{\´e}crivain Jonathan Littell s'est rendu dans la ville syrienne de Homs, marqu{\´e}e par la guerre civile, pour rendre compte de cette guerre dans le quotidien Le Monde. Toutefois, il a publi{\´e} ses notes non seulement sous la forme d'une s{\´e}rie d'articles, mais aussi comme un livre ind{\´e}pendant. Dans ce contexte, la question se pose de savoir pourquoi cette d{\´e}cision a {\´e}t{\´e} prise. Le statut de t{\´e}moin de guerre acquiert-il une qualit{\´e} diff{\´e}rente avec une autre forme de publication ? En outre, il faut souligner la probl{\´e}matique de la recontextualisation et de l'esth{\´e}tisation du reportage quotidien de guerre {\`a} travers une allocation formelle et archi-textuelle de l'{\´e}crit du domaine journalistique au domaine litt{\´e}raire. Car la publication d'un journal de guerre {\´e}dit{\´e} doit s'inscrire dans une longue tradition, comme on l'appellera dans l'article {\`a} l'exemple des œuvres d'Ernst J{\"u}nger, dont les relations avec l'{\´e}criture de Jonathan Littell sont {\`a} remettre en question ici.}, language = {fr} } @article{Lenz2020, author = {Lenz, Markus Alexander}, title = {Zone: une 'dialectique n{\´e}gative' de la conscience?}, series = {Mathias {\´E}nard et l'{\´e}rudition du roman}, journal = {Mathias {\´E}nard et l'{\´e}rudition du roman}, number = {439}, editor = {Messling, Markus and Ruhe, Cornelia and Seauve, Lena and De Senarclens, Vanessa}, publisher = {Brill Rodopi}, address = {Leiden}, isbn = {978-90-04-42396-1}, pages = {183 -- 199}, year = {2020}, abstract = {Depuis plus de dix ans, les romans de Mathias {\´E}nard connaissent un succ{\`e}s qui ne se d{\´e}ment pas. La Perfection du tir en 2003, mais aussi Zone en 2008, Parle-leur de batailles, de rois et d'{\´e}l{\´e}phants en 2010 et Rue des voleurs en 2012 ont remport{\´e} des prix litt{\´e}raires de grand renom. Enfin, le jury du prix Goncourt a opt{\´e} en 2015 avec Boussole pour un roman dans lequel « l'imagination » romanesque a pour support une {\´e}poustouflante {\´e}rudition portant sur l'Orient. Ce volume cherche {\`a} {\´e}clairer les modalit{\´e}s narratives qui permettent {\`a} l'auteur de transformer l'{\´e}rudition en roman, mais aussi {\`a} situer son œuvre dans le contexte litt{\´e}raire actuel}, language = {fr} }