TY - GEN A1 - Klettke, Cornelia T1 - Demonizzazione dell'umano: nebulosa dantesca e imagerie populaire in L'ultimo capodanno dell'umanità di Niccolò Ammaniti T2 - Letteratura e arte per Marcello Ciccuto Y1 - 2023 PB - ETS CY - Pisa ER - TY - CHAP A1 - Klettke, Cornelia T1 - Saluto dell'Istituto di Romanistica dell'Università di Potsdam T2 - “Vorrei cogliere questa terra / dentro l’immobile occhio del bue”. Leonardo Sciascia, lo sguardo di un intellettuale ‘scomodo’. Y1 - 2023 SN - 978-3-73298-993-5 SP - 11 EP - 13 PB - Frank & Timme CY - Berlin ER - TY - JOUR A1 - Klettke, Cornelia ED - Ciccuto, Marcello ED - Morra, Eloisa ED - Portesine, Chiara T1 - Le copertine come chiavi di lettura per i romanzi di Andrea De Carlo JF - Letteratura & Arte Y1 - 2023 U6 - https://doi.org/10.19272/202306001011 SN - 1824-4602 SN - 1724-613X VL - 21 SP - 185 EP - 202 PB - Serra CY - Pisa ER - TY - JOUR A1 - Klettke, Cornelia T1 - Pierre Klossowksi. L'acte créateur de l'écrivain peintre JF - Cahiers Erta N2 - Klossowski, who had originally started as a religious seeker of truth in his younger years, will – after his « reversal » – feel himself invested with the role of a « heretic » struggling with the libidinous search for truth. Even as the creator of a perverted metaphysics, he remains a seeker of the revelation of being, now in the role of the divine « adversary » who, thrown back on himself, tends to imitate a religious mystic. The divine is replaced by the whispers of the demon, which Klossowski experiences as « la complicité d'une force "démonique" » in the creation of his artworks. The Diana myth becomes a parable for the act of artistic creation. Sexuality, understood as the primordial ground of creative force that shapes the signe unique, the phantasm, shifts metaphysics to « phantasmaphysics » (Foucault), in which the mystery of the divine is exposed as a delusion (Wahnbild). KW - simulation KW - error as intentional KW - unique sign KW - incommunicable phantasm KW - simulacre Y1 - 2023 U6 - https://doi.org/10.4467/23538953CE.23.006.17568 SN - 2300-4681 SN - 2353-8953 VL - 33 SP - 139 EP - 157 PB - Wydawnictwo Uniwersytetu Gdańskiego CY - Gdansk ER - TY - JOUR A1 - Klettke, Cornelia T1 - Urlaute der Vögel in Andrea Zanzottos Topinambùr BT - mit Aristophanes und Goethe auf ,paradiesischen‘ Spuren JF - Romanistische Zeitschrift für Literaturgeschichte = Cahiers d’Histoire des Littératures Romanes Y1 - 2022 SN - 0343-379X SN - 2509-7474 VL - 46 IS - 1/2 SP - 199 EP - 211 PB - Winter CY - Heidelbrg ER - TY - JOUR A1 - Klettke, Cornelia T1 - Präsentation der Forschungsstelle Leopardi an der Universität Potsdam JF - Romanistische Zeitschrift für Literaturgeschichte = Cahiers d'histoire des littératures romanes Y1 - 2022 SN - 2509-7474 SN - 0343-379X VL - 46 IS - 1/2 SP - 247 EP - 248 PB - Winter CY - Heidelberg ER - TY - JOUR A1 - Klettke, Cornelia T1 - Rezension zu: Klinkert, Thomas: La modernità di Dante : prospettive semiotiche sulla Commedia. - Ravena: Longo, 2021. - 226 S. - ISBN 978-88-9350-072-2. - (Memoria del Tempo; 71) JF - Deutsches Dante Jahrbuch Y1 - 2022 U6 - https://doi.org/10.1515/dante-2022-0014 SN - 0070-444X VL - 97 IS - 1 SP - 153 EP - 157 PB - de Gruyter CY - Berlin ER - TY - JOUR A1 - Klettke, Cornelia T1 - La métaphysique valéryenne du regard en tant que représentation du pouvoir de l'esprit JF - Cahiers de l'Association Internationale des Études Françaises Y1 - 2022 SN - 0571-5865 VL - 74 SP - 277 EP - 293 PB - Les Belles Lettres CY - Paris ER - TY - JOUR A1 - Klettke, Cornelia ED - Havely, Nick ED - Katz, Jonathan ED - Cooper, Richard T1 - Measuring the divine by Geometry and Feeling BT - Canto 33 of Dante’s Paradiso JF - Dante Beyond Borders. Contexts and Reception Y1 - 2021 SN - 978-1-781888-30-8 SN - 978-1-781888-34-6 SN - 978-1-781888-38-4 SP - 21 EP - 34 PB - Legenda CY - Oxford ER - TY - JOUR A1 - Klettke, Cornelia T1 - Die Aneignung der Dichtung durch den Zeichner BT - Botticellis Commedia-Zyklus als Kommentar in Bildern JF - Romanistische Zeitschrift für Literaturgeschichte JF - Cahiers d’Histoire des Littératures Romanes N2 - Résumé: L’appropriation du poème par le dessinateur : le cycle de Botticelli sur la ‚Divine Comédie‘. La contribution se concentre sur deux points fondamentaux : 1) les caractéristiques qui distinguent le commentaire en images de Botticelli et l’enluminure de la ‚Divine Comédie‘ aux XIVe et XVe siècles ; 2) la préséance donnée au poète ou au peintre dans la rivalité entre les arts et le comportement de Botticelli face au « visibile parlare » de Dante. Au sujet de 1) La reconstruction de l’album original de la ‚Divine Comédie‘ contenant les dessins de Botticelli (Ill. 1) montre déjà une mise en valeur de l’image. Le format horizontal de l’ouvrage, qui accorde autant de place au dessin qu’au texte, annonce le nouvel esprit de l’époque, celui d’une rivalité entre la peinture et la poésie. L’image peinte renforce l’impact de l’enargeia du texte. Tandis que l’illustration, en tant que visualisation, contribue à rendre le texte plus compréhensible, le commentaire, lui, représente un élément de réflexion supplémentaire à ce que décrit l’auteur, une explication complémentaire, quelque chose de propre, qui ne survient pas dans le texte, un écart, donc, qu’il faut détecter lors de l’analyse. Un exemple de cette plus-value que l’artiste crée avec cet écart, sont les adieux de Béatrice à Dante représentés sur le feuillet de Pd. XXX (Ill. 2). Un autre exemple en est la personnification des « faville vive » (= les étincelles vivantes) que Botticelli, conformément au goût de l’époque, transpose en angelots. Même si la représentation des « faville vive » en anges (certes adultes) survient déjà dans les enluminures du poème (cf. Ill. 3 et 4), la conception de l’écart chez Botticelli est moins schématique mais plus efficace et convaincante, elle va jusqu’à l’enchantement de l’observateur. Au sujet de 2) En nous fondant sur le dessin de Pg. X (Ill. 5), nous analysons la différence de la compréhension du « visibile parlare » chez Dante et Botticelli. Si chez Dante, le « visibile parlare » est une parole divine, Botticelli, lui, représente les oeuvres de Dieu en tant qu’images dans l’image, il les encadre et les inclue dans le cadre de son feuillet à dessin. À travers ce redoublement de l’image, ou mise en abyme, il montre cependant en même temps de manière autoréflexive qu’elles se situent sur une seule et même surface, à savoir le domaine de l’art. Botticelli pose la représentation du sacré dans le cadre de son feuillet et nous fait prendre conscience ainsi du fait qu’il s’agit de l’oeuvre d’un artiste terrestre. L’art de Botticelli incarne ainsi lui-même un geste de modestie et se subordonne à l’humilité à laquelle le Canto aspire à instruire. On retrouve cette humilité de Botticelli dans son dessin de Pg. XI (Ill. 6), sur lequel l’artiste de la Renaissance sûr de soi met en scène la purification douloureuse de son orgueil et un apprentissage de l’humilité. Le dessin de Pd. XXVIII (Ill. 7 et 8) montre le détail d’un autoportrait de Botticelli déguisé en ange et dans une pose ludique. Avec sa plaque, il s’immortalise ici en tant que créateur du cycle des dessins. Botticelli semble être sûr de l’importance de sa contribution artistique et originale à l’oeuvre de Dante. Ironiquement, le dessinateur ne se dote que d’une seule aile, alors que le personnage de Dante utilise le mot ‘ailes’ au pluriel afin de se référer à lui-même en tant que poète : « ma non e da ciò le proprie penne : » (Pd. XXXIII, 139). Ainsi, Botticelli en tant qu’interprète dessinateur du poète pourrait finalement reconnaître la préséance de ce dernier. Quant aux chants Pd. XXXI et Pd. XXXIII, nous disposons exclusivement du texte ; les pages réservées aux images sont restées vierges. En ce qui concerne le feuillet de Pd. XXXIII, il s’agit probablement d’un « blanc » volontaire. On peut reconnaître ici – et cela s’esquisse déjà sur le feuillet XXXII (Ill. 9) – un renoncement de la part de l’artiste. Ce que Dante clame à plusieurs reprises dans le chant XXXIII à l’aide de la parole, à savoir son incapacité à verbaliser ce qu’il a vu ou ce qu’il imagine, a poussé Botticelli à laisser sa plume au repos. On peut ainsi voir comme raison à ce renoncement la prise de conscience de Botticelli des frontières de la représentation picturale. Dante lui-même a renoncé à la fin au langage illustré de ses tableaux de mots : « A l’alta fantasia qui mancò possa » (Pd. XXXIII, 142). En conséquence, Botticelli y renonce également. Y1 - 2021 SN - 0343-379X VL - 45 IS - 1/2 SP - 149 EP - 165 PB - Winter CY - Heidelberg ER -