@article{Hennemann2016, author = {Hennemann, Anja}, title = {A cognitive-constructionist approach to Spanish creo empty set and creo}, series = {Folia linguistica}, volume = {50}, journal = {Folia linguistica}, publisher = {De Gruyter}, address = {Berlin}, issn = {0165-4004}, doi = {10.1515/flin-2016-0017}, pages = {449 -- 474}, year = {2016}, language = {en} } @misc{Hennemann2016, author = {Hennemann, Anja}, title = {A cognitive-constructionist approach to Spanish creo {\O} and creo yo '[I] think'}, series = {Postprints der Universit{\"a}t Potsdam : Philosophische Reihe}, journal = {Postprints der Universit{\"a}t Potsdam : Philosophische Reihe}, number = {121}, issn = {1866-8380}, url = {http://nbn-resolving.de/urn:nbn:de:kobv:517-opus4-397485}, pages = {26}, year = {2016}, abstract = {The present study approaches the Spanish postposed constructions creo {\O} and creo yo '[p], [I] think' from a cognitive-constructionist perspective. It is argued that both constructions are to be distinguished from one another because creo {\O} has a subjective function, while in creo yo, it is the intersubjective dimension that is particularly prominent. The present investigation takes both a qualitative and a quantitative perspective. With regard to the latter, the problem of quantitative representativity is addressed. The discussion posed the question of how empirical research can feed back into theory, more precisely, into the framework of Cognitive Construction Grammar. The data to be analyzed here are retrieved from the corpora Corpus de Referencia del Espa{\~n}ol Actual and Corpus del Espa{\~n}ol.}, language = {en} } @phdthesis{Glikman2009, author = {Glikman, Julie}, title = {Parataxe et subordination en ancien fran{\c{c}}ais}, url = {http://nbn-resolving.de/urn:nbn:de:kobv:517-opus-56784}, school = {Universit{\"a}t Potsdam}, year = {2009}, abstract = {Parataxe et subordination, ces deux termes, parfois antith{\´e}tiques, sont probl{\´e}matiques du fait m{\^e}me de leur extr{\^e}me polys{\´e}mie. C'est de cette ambigu{\"i}t{\´e} que na{\^i}t l'objet d'{\´e}tude, les constructions asynd{\´e}tiques, au statut incertain entre int{\´e}gration et ind{\´e}pendance. Dans cette th{\`e}se, nous proposons de r{\´e}interroger ce ph{\´e}nom{\`e}ne ancien et d{\´e}j{\`a} bien connu en ancien fran{\c{c}}ais, en le mettant en regard des remises en question et avanc{\´e}es des recherches actuelles sur le sujet. Pour cela, il nous faut tout d'abord poser une d{\´e}finition de ce qu'est la subordination. Nous montrons ensuite que les constructions asynd{\´e}tiques sont bien des cas de subordination. Cette th{\`e}se {\´e}tablit enfin que ce ph{\´e}nom{\`e}ne constitue, en ancien fran{\c{c}}ais du moins, une variante libre en syntaxe. Sa r{\´e}partition et sa pr{\´e}sence dans les textes a cependant tr{\`e}s t{\^o}t diminu{\´e}, mais l'existence de ph{\´e}nom{\`e}nes parall{\`e}les en fran{\c{c}}ais moderne, tout comme d'autres indices, nous permettent de faire l'hypoth{\`e}se que cette {\´e}volution tient d'une alternance oral / {\´e}crit. Cette th{\`e}se montre ainsi que les probl{\`e}mes, comme les enjeux, ne diff{\`e}rent finalement pas, quel que soit l'{\´e}tat de langue et que la parataxe constitue bien une construction dans le syst{\`e}me de la langue.}, language = {fr} }